Une journée d’information ouverte sur la numérisation dans le domaine de la formation professionnelle aura lieu ce jeudi à travers l’entièreté des directions et autres structures relevant du département drivé par le Dr Yacine Merabi. Cette journée porte ouverte s’inscrit dans le cadre de la mise en lumière de la réalité de la numérisation dans le secteur de la formation et de l’insertion professionnelles, ainsi que dans le but d’inciter l’environnement social et économique à interagir positivement avec les services de numérisation du secteur.
Constantine n’est pas en reste puisque le staff en charge de la Direction constantinoise sous la houlette de Rafik Djoudi s’attèle à réunir toutes les conditions pour réussir ce rendez-vous dédié aux apprenants, aux partenaires et aux employés du secteur. Un rendez-vous qui, vise principalement à présenter le secteur directement depuis la plateforme numérique «Tasyiir». Les inscriptions seront disponibles directement sur le site des portes ouvertes. De plus, la journée sera marquée par des présentations réalisées par l’équipe de développement de logiciels du ministère de la Formation et de l’Éducation professionnelles. Il sera également question des avantages inhérents à l’application mobile «Mihnati».
Bien évidemment, les suggestions des visiteurs, concernant les besoins des services qui doivent être numérisés, seront prises en compte.
La souveraineté numérique, une priorité du gouvernement
A souligner que la numérisation des métiers par la formation comme maillon essentiel de l’amorce économique pour maitriser la numérisation des réalisations à travers l’application « Maharati » permet aux citoyens de toutes les régions du pays de rechercher plus facilement les professionnels compétents dans toutes les spécialités.
Reste à dire que le gouvernement par le truchement du ministre de la Communication, Mohamed Laagab, a assuré, hier, que «la souveraineté numérique est désormais en tête de l’agenda de l’Etat algérien, ce qui est positif et honorable». Et d’ajouter que «sa concrétisation se fera à travers un long processus, pénible et coûteux», en soulignant «la nécessité de l’implication de tous et de la disponibilité des moyens technologiques nécessaires et du savoir-faire».
Dans son discours d’ouverture du Colloque international , organisé par la Faculté des sciences politiques et des relations internationales de l’Université d’Alger 3, le ministre de la Communication a expliqué que «la souveraineté numérique est devenue une priorité et c’est une chose positive et honorable».
S.B.
